Caresses.

Samedi 29 décembre 6 29 /12 /Déc 01:41

Caresses.

A genoux je sens ses mains qui ondulent sur moi .Chaque part de mon être latexé tend vers l’absolu. Je sens ses doigts à travers ma deuxième peau. Ils lissent et font briller chaque centimétre de peau noire. je deviens la poupée de latex que tu as formée de tes mains.

A chaque friction mon sexe se gonfle un peu plus et pourtant ce n’est pas cette sensation que je veux retenir de ces moment précieux.

Quand tes doigts passent sur mon dos c’est mon épine dorsale qui frémit et m’envoie des signaux de plénitude.

Quand tes doigts passent sur mon torse c’est mon être que tu envoies dans le domaine des songes.

Quand tes doigts huilent ma tête c’est ma conscience que tu emportes.
Je ne suis plus. je ne suis qu'un corps qui accueille tes caresses.

J’ondule, frémit, me louvoie. Je suis l’extrémité de tes mains. Je les cherche. Je veux les embrasser. Les aimer.

Mon sexe est tendu mais il m’importe peu. Je souhaite continuer à ressentir tes mains sur mon corps, rien d'autre n'a d'importance.
Je prends ta tête. Je caresse tes chevilles. J’essaye de répondre au bonheur que tu me donnes.
Où est tu acca. ? Je ne peux te voir tu m'as posé un loup.

Je voudrais te donner mes lèvres. T’embrasser. te ressentir à nouveau.

Oh? je sens ton pied ? Il est sous mes bourses, je vais pouvoir m’y frotter.

Mais tu me repousses à coup de vibration diabolique, l'oeuf etant en place depuis mon arrivée.

A mon oreille sous mon masque de latex tu souffles : « tu es a moi muso. Rien qu’à moi. Mon objet. Mon sexe toy. Ma poupée de latex. Je vais te façonner. Tu seras le plus beau. Je vais t’exhiber. Je veux sortir avec toi, ma chienne latex. »

Je réponds à ces paroles par une érection des plus forte, Mon sexe goutte, droit vers acca.

« Muso ? Tu n’as le droit de venir que si je te le dis. Ok. ? »

A ces propos, mes bourses montent encore d’un cran et la mon sexe se rappelle à mes pensées.

« Oui Acca. Je suis ta chose. Ta chienne. Tout ce que tu voudras »

J’ai un peu honte mais au fond de moi j’aime ça.