Mardi 11 mars 2 11 /03 /Mars 14:22
undefined Pendant quelques temps je titillais Acca de manière "subtile" sur un sujet que je ne connaissais pas mais que je désirais découvrir. Ainsi y allais-je de petits mots plus où moins directs sur la nécessité d’avoir des bougies si une panne électrique survenait, ou encore de la place prépondérante des bougies dans le circuit d’allumage d’une voiture.
Ok, ok.. ce n’est pas très fin je le reconnais . Il aurait été plus simple de demander directement, mais bon. Il y a encore des désirs, des envies que j’ai de la difficulté à exprimer.
Acca souriait gentiment de mes petits jeux et me laissait arriver avec mes gros sabots ( en l’occurrence des bottes chez moi..).
Ainsi un soir que je devais chérir ma belle ténébreuse, me plaça t’elle à quatre patte sur mon tapis.
Tête rentrée, je savourais la fessée qu’elle me donna. Longue, lancinante, au rythme de la musique tribal que crachait l’ordinateur, j’ondulais de bien être à chaque tape sur ma partie arrière. Quelques fois interrompu pour une action de masturbation par ses soins, je sentais mes fesses chauffer et rougir de plaisir.
Après un laps de temps que je qualifierai de quatrième dimension, Acca me fit redescendre tout doucement.
A l’oreille elle me dit ceci : 
-« Alors mon muso. On a des envies de bougies ? De cire ? bien.. Tes désirs sont des ordres mon petit. Ne bouge pas. Je reviens. »
Un Glurps passa dans ma gorge lorsque je me rendis compte réellement de ce qui allait suivre.
Je ne bougeais pas et attendais ma Louve.
Très rapidement, elle revint avec un set de bougies blanches, un bougeoir et un briquet.
-«  comme c’est la première fois, Monsieur le demandeur, je vais utiliser de la cire blanche. Ça ne devrait pas brûler trop fort. Estime toi heureux que je ne décide pas d’utiliser une bougie d’agrément qui te marquerait beaucoup plus. »
Je ferme les yeux et serre les poings quand j’entends la roulette du briquet déclenchant la flamme, embrasant la mèche.
Acca patiente et je pense fait fondre les débuts du bâton cireux.
- «  bien Mon muso, allons y. cambre toi. Si quelque chose ne vas pas tu connais le mot à dire, n’est ce pas ? »
-«  Oui Acca » lui dis-je tout simplement.
-« allons-y, alors »
Mon corps entier se serre de peur et d’inconnu. Tous mes sens sont aux aguets.
La première goutte de cire qui touche ma peau me fait l’effet d’une aiguille. La partie touchée se contracte et je bascule quelque peu. Le haut de ma fesse, il me semble.
Une deuxième goutte vient tomber non loin me provoquant le même spasme, une troisième dans le creux des reins, une quatrième, une autre. Encore une autre. A chaque chute, une sensation de douleur puis un espace de chaleur qu’une autre zone de douleur vient remplacer.
Je cherche à saisir, à ressentir les zones. Mes fesses encore rouges de la fessée sont sensibles mais c’est le creux des reins, et le début de mes flancs qui sont les plus délicats.
Le goutte à goutte continue, je cherche le bien être des endorphines qui ne vient pas. Est il trop tôt ? Je cherche le point de lumière intérieur, celui où je me refugie parfois mais je n’arrive pas l’atteindre.
-«  ça va muso ? Comment te sens tu ? »
-«  ça va Acca .. ça va. »
-«  tu veux que j’arrête ? »
Je réfléchis quelques instants. Ce n'est peut être pas assez ? Faut il continuer le voyage pour atteindre le bien-être ? »
-«  encore un peu Acca. Continue encore un peu s’il te plait . »
-«  bien. »
La danse funèbre des gouttes de cire reprend alors son rythme. Chaque goutte m’arrache un pic de souffrance. Mon dos et mes fesses me brûlent, mais je n’arrive pas à ressentir les bienfaits.
Je souffle et me crispe encore plus. Mes bras tétanisent. Je n’arrive pas à tenir.
-«  Acca.. S’il te plait.. Arrête. Arrête. Je n’aime pas »
Acca pose le bougeoir sur mon dos et me caresse les cheveux.
«  Comme tu veux mon muso . Ça ne va pas ? »
-«  pas trop ma louve. J’ai mal.  Je ne ressens presque aucun plaisir à cela. Je ne pense pas que ce soit une pratique qui me sied. Tu ne m’en veux pas ? »
-«  pas du tout mon beau. Tu n’es pas obligé de tout aimer. Ne bouge pas. Je vais prendre une ou deux photos puis je t’enlèverai la cire à l’aide d’une lame de couteau »
Pendant qu’Acca réalise ses propos, je cherche à comprendre le pourquoi. Certainement une question de vecteur. Il y a du vide entre Acca et mon dos que les gouttes ne comblent pas.
Quand elle me tape ou joue avec un instrument, je suis son prolongement et c’est ça qui me relie à Elle. Là.. Que du vide. Elle me semble trop loin.
La lame du couteau ôte petit à petit les plaques de cire.
- «  au moins maintenant ai-je de quoi te punir sans que tu y trouves du plaisir mon muso, il faudra que tu fasses attention. »
Dans ma pensée je me dis alors que : « oh oui, je ferai attention. Mon nom est muso pas maso. »
 
 
Par remus - Publié dans : vecu
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