Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 23:35

Cher muso
J'ai bien reçu votre plan.
Je serai là à 17h30.
Soyez ponctuel, souriant, et calme.
Votre éducation devra être parfaite ce soir..
Acca.


Un simple message qui me mit en émoi. Ces quelques lignes n'étaient que la fin d'un discours plus ancien commencé par ma ténébreuse. Mon éducation lui semblait quelque peu décevante et elle avait émis l'intention d'y remédier, jugeant mes actes trop désordonnés et quelque peu fou-fou.
Ainsi étais je donc sur le parking non loin de mon entreprise à attendre sa venue. 17h31, précisément.
Ne la voyant pas, je m'asseyais sur un tronc d'arbre, guettant son arrivée.
Une dizaine de minute plus tard , alors que le froid commençait à mordre mes doigts je vis arriver son véhicule qui s'arrêta à coté de où je patientais.
Je montais rapidement à l'avant et me précipitais pour l'embrasser.
« Muso ! on demande avant de faire quelque chose » me dit elle en me repoussant.
Tout penaud, je regardais avec étonnement ma louve si autoritaire.
« Puis je vous embrasser Ma Dame ? » dis-je timidement.
« Non. Tu es trop abrupte dans ton approche. Réfléchis à ça pendant la route. Mais avant tend la main. »
J'acte la demande et tend ma «mimine» vers Acca qui s'en prévenir gifle celle-ci. Oh, pas une grosse gifle, mais juste une tape qui me fit sentir la frappe.
« Acte de dressage numéro 1 muso, quand je te dirais tend la patte tu sauras quoi faire. Allons y maintenant. »
Nous arrivons devant la tanière et Acca me tends des poignets en cuir avec de gros anneaux.
« Muso, tu entres dans le couloir après avoir vidé mon coffre. Là, tu te mets en T-shirt et tu places les poignets. Tu ôtes tes chaussures et tes chaussettes et tu attends que je vienne te chercher ».
Toujours un peu en désarroi je réponds un « oui Ma dame »
J'effectue donc les taches demandées et me retrouve dans le couloir à attendre ma belle.
Voulant lui faire plaisir je me mets à genoux en pénitent.
Les minutes s'écoulent alors que je l'entends aller et venir dans la maison. Des bruits de pas dans l'escalier, des meubles qui bougent.
Après ce qui me semble un interminable moment la porte s'ouvre et je découvre mon Acca devant moi, bien droite.
« C'est bien muso, tu as été sage et tu as bien fait de choisir cette position. » elle passe alors sa main sur ma nuque me gratifiant d'une caresse à cet endroit qui me fait fondre.
« Relève la tête ! ». En m'exécutant Acca me passe mon collier et je me sens encore plus à Elle, prêt à tout faire pour lui plaire. Elle prend alors un loup de cuir qu'elle appose sur mes yeux me rendant complètement aveugle. Ma laisse vient clôturer le tableau.
« Lève toi et suis moi, maintenant »
Nous marchons vers le salle à manger, puis elle me pousse sans ménagement, plaquant mon dos contre le mur.
« Lève les bras. » j'obéis très vite et lève mes membres vers le haut. Acca tire alors sur mes poignets et au bruit métallique je devine qu'elle attache ceux-ci à l'aide de mousquetons aux anneaux qui sont placés dans son mur.
Une fois installé, ses mains viennent déboutonner mon pantalon qui tombe directement sur mes chevilles, laissant apparaître à travers mon boxer un émoi certain.
« Enfin muso. Quelle salope tu fais. Tu bandes déjà ! »
A ces mots, je ne trouve qu'un gémissement à répondre car ses griffes sont déjà sur mon sexe le faisant vibrer comme un violon.
« Mais ce n'est pas pour me déplaire, même si j'ai à faire pour le moment. Tu restes la hein ? Ne bouge pas » ricane t'elle en s'éloignant.
Attaché au mur, les bras en l'air, le pantalon sur les chevilles, j'écoute les bruits d'Acca. Elle va et vient, s'affaire. Dés qu'elle s'approche de moi, elle me gratifie d'une caresse, d'une griffure, qui m'excite terriblement.
Je la sens même se frotter les fesses sur mon entrejambe. Je me cabre pour répondre à son invitation mais aussi vite s'éloigne t'elle. Mon boxer est tendu au maximum, je voudrais qu'elle vienne me soulager, me traire comme elle le dit souvent. Mais au contraire c'est à chaque fois un effleurement ou pire un va et vient très court sur mon sexe qui crie famine de ses caresses. Je gémis dans ma position, l'appelant des mes vœux. Mais je n'ai pour réconfort qu'un « On se tait muso. Sois sage ».
Au bout de quelques minutes, je reconnais le son habituel d'un pc qui se met en route puis une musique poignante de George michæl qui vient habiter l'atmosphère.
Un petit passage à mes cotés et des caresses diaboliques plus tard, le bruit des touches du clavier d'Acca vient sonoriser la pièce. Je patiente sur mon mur, sentant mes épaules et mes poignets se rigidifier sous l'effort. Mon sexe lui ne se vide pas de l'afflux de sang provoqué par ma Louve.
Je présume Qu'elle répond à des e-mails car les minutes passent. Seul mon ouie est capable de m'informer des éléments qui se passent dans la pièce.
Je l'entends ensuite ouvrir un sac, déplacer un tabouret ou une chaise puis venir se positionner devant moi.
Le bruit et l'odeur caractéristique du latex m'indique qu'elle positionne des gants sur ses doigts.
Elle tombe mon boxer libérant ma queue tendue vers Elle.
« Un conseil muso. Si tu ne tiens pas à devenir eunuque ne bouge surtout pas. »
Mes muscles se tendent, je serre les mains, alors que j'entends le bruit caractéristique de la tondeuse qui se met en route.
Me sentir nettoyé, épuré. Ses mains qui me tiennent sans ménagement, tirant ma queue à droite, à gauche, comme un vulgaire instrument. Mes bourses travaillées, palpées. Mon sexe parfois branlé, souvent caressé. Ces éléments mettent le feu à ma libido et je garde une droiture qui je l'espère plait à Ma Dame.
« Mais c'est qu'il est excité muso ? Regarde tu es trempé. Incorrigible tu es. »
Ma pensée et basique en cet instant « Ma Dame, videz moi je vous en prie ! » sont les mots que je voudrais lui souffler mais je m'abstiens de tous commentaires.
« Tu as été bien sage muso, peut être auras tu droit à une récompense tout à l'heure »
A ces mots mon coeur s'emballe. Demandez moi Ma Dame !! Demandez moi ce que vous désirez ! pense muso.
« Mais pour le moment je vais aller prendre un bain. Tu restes là et je ne veux pas t'entendre. Je ne te mets pas le bâillon, j'ai confiance en toi. Mais s'il le faut je saurais te contraindre »
Je sens alors passez sur mes lèvres la boule caractéristique du bâillon en latex, qui est vite remplacé par la texture plus souple du gros plug noir qu'elle présente sur ma bouche.
« Et même plus, si l'envie me prend » me souffle t'elle à l'oreille.
Je baisse la tête alors que je l'entends s'éloigner.. Puis l'eau commence à couler.
Je suis contre le mur silencieux, le sexe toujours erigé.

Par remus - Publié dans : vecu
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