Vendredi 7 décembre 5 07 /12 /Déc 00:51

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-« Allez mus’o mets toi sur le dos au milieu du lit et ne bouge plus ».
A ces mots je reviens sur terre. Je suis dans la chambre des secrets, devant moi le grand lit. Les sangles de papier sont déjà dans ses mains. Tant bien que mal je me positionne sur le matelas en attente de ses décisions.

Elle s’approche de mon bras droit et y noue la première sangle. Lorsqu’elle tire pour fixer le tout, je sens mon bras s’étirer vers le haut. Je teste la solidité du lien pour voir. Ce n’est pas serré à me couper la circulation mais impossible d’arracher cette bande.
Par logique, suis mon pied droit, mon pied gauche et enfin ma main gauche. Me voila solidement attaché au lit. Je ne peux me mouvoir que sur une distance infime.
Une douce musique vient alors bercer mes oreilles. Jim Morisson dans ses œuvres.
Elle s’approche alors de moi et se love le long de mon flanc, ses mains expertes caresses ma poitrine, mon ventre mon sexe.
«  Ça va mus’o ? Tu te sens bien ? » Me lâche t’elle discrètement à l’oreille. Je soupire un oui d’approbation totale.
-« Il est temps de rouvrir Dame aux clés. Tu as failli, donc tu dois réparation. Mais je pense qu’il serait mieux que tu  ne vois pas ce qui t’attend. Alors pour ce faire je vais te passer un loup de cuir. Je te veux dans une totale dépression sensorielle mon tout beau. »
Ses yeux sont plongés dans les miens, je lis en elle jusqu’au moment où le noir m’absorbe. Je ne puis que la sentir. Essayer de l’entendre, la deviner. J’en bande de terreur.
A chaque battement de cœur je sens mon sexe heurter la paroi de caoutchouc.
Une main effleure mes tétons à travers ma seconde peau, elle tourne autour et délicatement les pinces. Elle joue avec et les amènes vers de cimes qui m’étaient insoupçonnées.
Je sens alors le zip de ma combinaison s’ouvrir et ses mains se glissent dans l’espace. Elle écarte peu à peu les pans du shorty pour venir de ses doigts rouler à nouveau mes tétons. Je sens alors une pièce de bois les effleurer de deux cotés puis les serrer dans une douleur contrôlable.
-«  hmm tu es très beau comme ça. Comme un tableau que je commence a peine. Il me vient l’idée de te marquer. Qu’en penses-tu ? Inscrire sur ta peau, Ce que tu es ? Hmm oui c’est à faire »
Je commence à paniquer, qu’a-t-elle décidé ? J’entends un petit bouchon sauter et ses main s’affairer. Délicatement doucement je sens une forme humide faire des évolutions sur ma poitrine. Quelque chose coule au passage de cet instrument. Chaque mouvement de l’inconnu me procure des frissons de craintes et d’excitation qui parcourt mon corps.
-« voila mon tout beau. Pour te remercier de ton lavis je t’ai annoté de ces mots. « Mus’o propriété d'Acca. Machine à douceur. ».
Dans le noir, je respire à ces mots. J’écoute mon cœur battre et chaque bruit sourd est un moment de joie intense.
Je sens sa main passer sur mon crâne de latex puis descendre le long de mon corps. Les zips du shorty s’actionnent pour libérer mon dard prisonnier. Fier et droit je me dresse pour mon Acca. Elle s’en empare et le caresse de ses doigts de fées. A nouveau je sens mes bourses remonter prêtes à donner le meilleur de moi-même, mais dans un geste calculé elle me serre et me contrôle.
«  Du calme mon tout beau. Tu es tout nu la. Je vais t’habiller. »
Toujours sans attache réelle, je la sens prendre mes parties, les tirailler et installer le harnais de sexe. Plus fermement, plus serré que la dernière fois. Je m’attends à un travail de sa part pour libérer mes envies mais c’est plutôt la paroi de mon shorty qui vient se refermer sur mon sexe en douleur. Une fois renfermé elle me caresse à travers la paroi et je lâche un râle de bonheur. Les sensations sont délicieuses. J’ai oublié ou j’étais, je ne sais plus penser. Je n’ai qu’un vecteur mes parties.
«  Tu m’attends la je reviens. Ah !! Oui c’est vrai tu ne peux pas bouger ». Me lance t’elle en s'éloignant. Autour de moi Jim en est à Riders on the storm, les guitares pleurent et j’en ressens toute leur forces. Je suis seul avec moi-même, attaché au lit. Le sexe harnaché et tendu prêt à disperser. Les pinces  sur mes tétons montrent maintenant leur force et une chaleur plus intense s’installe en mon sein. Je ne bouge plus. Je savoure le moment. Cependant, bien qu’heureux et stable, elle me manque déjà. Je ne l’entends plus tourner autour de moi. je ne sens plus son parfum. Reviens Mon Acca. Reviens vite.
 
Prière sourde exaucée, j’entends la porte frotter sur le parquet. Son retour s’accompagne d’une caresse ferme sur mon pénis qui me ramène à la réalité. Jim commence « this is the end. ».
«  Bien mon tout beau. Il est temps de passer aux choses sérieuses. Te souviens-tu de ce dont je t’ai parlé au restaurant. Oui c’est ça mus’o les aiguilles. Calme toi et arrête de bouger la tête on dirait un Pinocchio de supermarché. Je vais commencer doucement. Tu connais le mot d’arrêt si besoin tu me le dis clairement. Comprends-tu ? »
Je marmonne un oui mais déjà j’ai l’esprit en feu. Elle m’avait laissé penser qu’elle me transpercerait les tétons avec des petites aiguilles médicales mais je ne croyais pas vraiment qu’elle mettrait sa menace à exécution. Or la, elle s’apprête à le faire.
Je sens une odeur d’alcool. Celui qui permet de désinfecter. Puis un léger froid sur mes mamelons. Mon dieu elle va vraiment le faire..
« Respire mon tout beau, ça va aller »
Je tourne mes poignets et accroche fermement les menottes de papier. Mon corps complet se rigidifie sous le stress. J’en attrape une crampe dans le pied. Pour la première fois de la soirée sous l’effet de l’adrénaline je débande. Je suis mort de trouille. Je vais lui dire le mot je le sens je ne peux pas avoir mal, je ne veux pas.
Une pointe métallique vient se poser sur l’extérieur droit de mon téton droit. La pression s’intensifie. Ça pique fortement. Je sers les dents. Tenir. Ne pas craquer. Etre fort. La douleur est palpable, puis se calme un instant. A nouveau, je sens une vive piqûre sur l’intérieur de mon téton sur la gauche. La même sensation d’être transpercé puis le calme. Je sens l’aiguille au travers de moi. Plus de douleur. Le calme. L’alcool a anesthésié l’endroit.
 La pointe connue se présente sur l’autre téton! Je stresse encore plus. Plus un seul muscle de mon corps n’est relâché. Tenir. Ne rien dire. Je veux qu’elle soit fière de moi.
La même douleur intense se présente sur mon téton droit et en un instant je suis transpercé.
Le même calme m’envahit. Vive le désinfectant qui aide ma première expérience. Mais qu’arrivera t’il dans quelques minutes? Quand le tout se réveillera?
-«tu es courageux mus’o. Je pensais que tu arrêterais ma main. Dis moi que t’ai-je fait à ton avis?»
Je bredouille un non convaincant «vous m’avez transpercé Acca. J’ai senti les aiguilles passer de part en part comme si on me recousait. Je sens la douleur»
-«En est tu sur? mus’o»
«Je pense Acca» lui répondis-je hésitant.
-«et bien regarde toi alors ».
Sur ces mots elle m’ôte le loup et me penche la tête.
Je ne comprends pas. Ce n’est pas possible.
Rien.. Il n’y a rien sur mes tétons. Je retourne mon regard vers ma princesse d’un air étonné.
-«la suggestion et ton cerveau ont fait le travail mon tout beau. Tu étais tellement persuadé que j’allais le faire que tu as cru que je le faisais. Regarde cette instrument, c’est une roue de Wartemberg. C’est tout ce qui est passé sur tes tétons et seulement cela»
Je regarde l’instrument étrange et en découvre les pointes.
-«Pour une première fois je préférais te laisser penser les choses les imaginer et je crois que tu les as vécues mais la prochaine fois tu seras transpercé. Mus’o je suis fière de toi. Tu as été jusqu’au bout de ta démarche tu t’es offert pleinement. Tu mérites une récompense.»
Elle s’allonge à mes cotés et applique la roue sur mon torse, déambulant au grés de ses envies.
«Tu vois bel animal, en fonction de la pression que j’exerce, tu ne sens presque rien ou tu ressens très fort» et lorsqu’elle appuie sur cet engin de torture je sens les pointes rentrer dans ma peau. Je souffle fort dans mon harnais et chaque muscle de mon torse se tend a nouveau.
-«mais sur certains endroits c’est encore plus criant de vérité» elle applique alors l’instrument d’acier sur mon sexe tendu à nouveau et chaque petite pointe passant sur ma peau me laisse échapper un râle de surprise et de crainte.
Au bout de quelques passages elle retire le diabolique et vient caresser ma hampe .
«Voila du calme. C’est bien. Tu es un bon mus’o». Ses mains s’activent alors sur mes parties. Une sur le sexe dans un va et vient violent, une sur les bourses dans un pétrissage expérimenté. Le plaisir est intense car à ce moment je me relâche totalement. Plus de crainte, de peur d’angoisse. Je suis dans les mains d’Acca. Mes bourses remontent très vite et Acca sentant mon rythme respiratoire s’accélérer, dépose une petite coupelle en dessous de mon gland»
-«Viens mus’o! Viens : donne moi ton plaisir». Les mots de libération étant prononcés, je laisse alors ma jouissance tellement retenue franchir la porte de mes reins. Je sens le liquide qui passe dans mon sexe pour se déposer dans le petit récipient.
Mon Acca me branle encore quelque peu afin de finir mes spasmes puis dépose la coupelle sur mon ventre.
Je suis éventré, extenué, les capteurs de mon cerveau sont inondés de bien être. Je voudrais que l’instant soit éternel.
Délicatement elle dénoue mes liens puis vient se positionner à mes cotés.
«Veux-tu une cigarette mus’o?»
 


 
Par remus - Publié dans : vecu
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