Dimanche 16 décembre
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01:37
« Relève toi
Mus’o »
A ces mots j’arrête de lui embrasser les pieds et je me relève timidement.
« regarde à ta droite. Dans le carton, tu trouveras des présents pour toi. Choisi au hasard et ouvre les ».
I y quelques jours déja elle m'avait dit en ces termes via MSN
I y quelques jours déja elle m'avait dit en ces termes via MSN
"J’ai acheté des petits cadeaux pour toi. Certains seront tes choix, d’autres seront mien"
Je plonge donc les mains dans la boite marron pour en ressortir un objet enveloppé de papier. Patiemment je déroule l’emballage pour découvrir un plug de
latex noir. petit et gracieux, je reste bouche bée devant l'ustensile.
« Mus’o, celui la est étroit et fin. Comme un doigt. Mon doigt.. Tu le porteras lorsque nous sortirons. Ce sera moi en toi, tu ne pourras m’oublier." me dit-elle
un grand sourire aux lévres.
"Maintenant ouvre l’autre paquet. »
"Maintenant ouvre l’autre paquet. »
Je n’ai pas trop le temps de comprendre ses propos. Je m’exécute et plonge à nouveau la main dans le carton. De là, j’en ressors le même nouage de papier que
j’arrive peu à peu à désentrelacer.
Devant moi se trouve un plug de diamètre beaucoup plus impressionnant. A vu de nez, dans les 5 centimètres de diamètre. Je déglutis et regarde Acca avec
angoisse.
-« mus’o, ne fais pas cette tête voyons! Celui la est pour nos jeux, tu aimeras te sentir plein lorsque sera l’heure de la traite. »
« Mais Acca !! Il est gros ? »
« Mais non mus’o, tu le prendras très bien tu verras. Dans quelques temps tu le me réclameras même »
Je baisse la tête. Oui ma princesse, je pense deja le savoir, j’ai souvenir des plaisir du chapelet et j’aime être rempli pour toi. Cette sensation est
terriblement jouissive.
« Mus’o, tu as vu les cadeaux qui sont mes choix. Maintenant tu vas affronter les tiens mon tout beau »
Je replace les plugs sur la table de salon, en regardant bien le large avec crainte.
« Allez, prend le paquet sur la table. Le noir, là. Oui c’est bien. Ouvre le !»
Je suis dans un état de transe, je ne sais plus trop quoi penser, quoi dire. Elle dirige les débats. L’action est sienne. Je suis le mouvement.
J’ouvre le paquet noir. A l’intérieur deux emballages. Elle me dit d’ouvrir le plus petit.
Quand je découvre son contenu, je me réjouis intérieurement. Un masque de latex est dans mes mains. Fin, anatomique, et bien
coupé . Je vais être beau dedans. Mon regard se tourne alors vers elle, empli de gratitude.
" Tu vas devoir le préparer mon tout beau car il est brut. Aimes-tu ?"
«" Oh.. Oui Acca . Il est magnifique.."
« Bien, ouvre l’autre paquet maintenant »
Je pose le masque à coté des plugs, je suis sans voix.
Je déballe le deuxième paquet. Il est plus gros et l’intérieur est plus rigide. Petit à petit, je vois apparaître une pièce de latex qui comporte des agrafes et
des lacets.. un corset.
Je reste ébahi, je la regarde puis je regarde le corset. Mes yeux font le va et vient.
Que dire ? Au fond de moi je suis heureux. Je ne pense pas être gros mais quelques kilos superflus et mal placé me chifonne. Là, elle m’offre une
silhouette, un autre personnage. Je lâche tout et la couvre de baisers.
« Mon beau, mets toi debout. je veux voir ce que le corset donne sur toi. »
Je me relève et présente mon ventre à Acca. Elle y place la piéce rigide.
Trois quatre minutes plus tard je me retrouve habillé d’un corset de latex noir. Alors que j’aurais pu craindre sa contrainte, je ne sens que paix et douceur.
Il relève mes hanches et mes pectoraux. J’ai envie de me coller à Acca, de l'embrasser comme jamais. Je m’avance vers elle.
En me repoussant tendrement je l’entends dire « mus’o, mets ta cagoule s’il te plait ».
Je prend la fine couche de latex, la nettoie et la huile. J’ouvre les mains et passe la cagoule. En deux mouvements, elle se place sur mon visage.
Déjà, je bande. Je suis Mus’o, chevalier esclave de Acca. !
Déjà, je bande. Je suis Mus’o, chevalier esclave de Acca. !
De ses mains expertes, elle caresse mon visage « elle te va très bien mon tout beau, tu es superbe à regarder.. Mais bon, donne moi ton harnais, nous
avons à faire »
Je lui donne la piece de cuir et de metal, qu’elle place sur ma tête latexée .
Et de là, sur ce collier de contrainte, elle place ma laisse à l’aide d’un mousqueton.
« Mus’o! prends les plugs dans tes mains. Tu as du travail de nettoyage »
Alors elle se lève et m’entraîne vers la salle de bain, tirant sur ma laisse. Je la suis avec bonheur vers un moment de découverte. Pourtant Je serre les
fesses, devinant ce qui m’attend.
Ps : Acca ma chérie, toi qui va lire ses lignes. Je n’ai peut être pas su te donner les mots exacts de ma gratitude. Sache que tu ne pouvais pas trouver
plus beau cadeau pour un mus’o perdu dans tes filets. Merci Acca. Merci.! Merci.! J’espère être à la hauteur de ce que tu places en moi.
Présentation
- : Le chevalier d'Acca Laurentia
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