48h de plus, Partie2 : Shopping à Bruxelles

Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 19:14

48h de plus, Partie2 : Shopping à Bruxelles

Nous montons dans le véhicule d'Acca, je souris intérieurement. En deux trois minutes alors qu'elle m'attendait dehors, j'ai activé la tornade et rangé tout le salon. Ainsi nous pourrons recevoir dans de bonnes conditions.

Elle démarre le moteur et s'engage dans la rue passante.

Qui cela peut bien être? Forcément des gens qui viennent de loin.

"Qui est arrivé Acca, il sont venus en train ? "

"Non non muso, en voiture. Mais ils ne trouvaient pas la tanière alors ils se sont arrêtés à la gare. Quand à leur identité.. Tu verras bien".

- "Bien Acca ".

La voiture déambule dans les rues de la ville qui s'éveille. Au niveau de la gare un vide grenier est organisé, ce qui ne facilite pas nos recherches, jusqu'au moment où elle les aperçoit.

-"Oui !! Ils sont la! Super!"

Devant une 307 un homme massif, pull épais en laine, visage sérieux fume une cigarette. J'ai déjà vu une photo de cet homme sur le net. C'est l'ours blanc!! Il est l'ami d'Acca et modérateur sur le chat.

La surprise est totale! Je me présente et le laisse fêter les retrouvailles avec Acca.

De la voiture sort une grande blonde élancée. Talons, bas, cheveux aux vents, c'est une très belle femme.

Acca me la présente comme la chatte, la soumise de l'ours blanc. Je la salue également.

Nous remontons dans la voiture, direction la tanière. En chemin j'allume une cigarette. En deux/trois aspirations elle est terminée.

- "Allons muso ne stress pas. Tout se passera bien. En arrivant tu feras le service des invités. Café ou jus d'orange. Compris ?"

- "oui Acca"

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Acca fut heureuse de ma petite tornade nettoyante et de mon service. La nuit ayant été courte, après quelques échanges de mots, nos invités allèrent se coucher, réveil prévu vers midi. Acca se reposa également sur le canapé alors que je regardai un DVD ou consultais mes mails.

Sur le coup de 12h00 tout le monde se leva, pris un café et commença à se préparer par le biais d'une douche salvatrice et de préparation de sacs. De mon côté je regardais avec étonnement ce manège. Qu'y avait il dans le sacs? Pourquoi les prenaient ils avec? Acca me sortit de ma rêverie en m'appelant dans la salle de bain, pour me placer l'oeuf vibrant.

Une légère grimace salua l'arrivée de celui ci. Un petit mouvement impromptu son activation.

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"Bon alors muso? Tu actives ton GPS ? "

-"Oui Acca. De suite". J'allume le PDA et je lance la recherche de satellite. Sans antenne extérieur ça prend un peu plus de temps. Ca y est !connecté.

La 307 bouge énormément quand même et vibre assez fortement. Certainement les enceintes qui crépitent.

"A 1500 m tournez a droite " m'ordonne la voix". Certes, certes mais il y a un bouchon.. "A 1500 m tournez a droite".. "A 1500 m tournez a droite"... ok ok machine sadique nous avons compris mais ça n'avance pas.

L'ours a le bon réflexe et tourne tout de suite, effectue un demi tour et se réengage dans l'accès bloqué ? Et hop nous avons gagné le droit de passage.

La 307 vibre toujours autant étrange.

Quelques feux plus loin, nous avons un rouge. Arrêt.

La musique a été coupée, nous sommes stoppés et pourtant mon siége vibre toujours?

Regard rapide vers Acca. Rien de spécial. Pourtant je vibre bien là... euh. Même très bien .. Et je pense savoir de où.

Un regard vers le sac de Acca .

-" euh ?? Acca ? Le sac. La télécommande est dedans non ?"

-"oui muso et ? "

-"euh .. et bien .. Je crois qu'elle est allumée "

-" ah oui ?? Tu es sur ? "

-" OUI.."

Elle fouille dans le sac.

-" ah oui effectivement. C’est drôle ça. Tu l'as allumé en appuyant ton coude sur le sac. Gourmand le muso, tu te fais vibrer tout seul maintenant ?"

-" et bien.. "

-" non allez c'est fini, tu en profiteras plus tard"

Le feu passa au vert nous nous engouffrons dans Bruxelles.

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"Nous y sommes, mon tout beau"

Après quelques tribulations pédestres nous sommes arrivés devant la boutique Minuit. La vitrine est magnifique avec son lot de robes latex ou de chaussures à talons hauts.

Acca pousse la porte du magasin en me tirant par la main.

"Bonjour " dit-elle "J'ai téléphoné cette semaine nous pouvons monter?"

Au rez-de-chaussée se trouve la lingerie coquine mais toute fois "classique", à l'étage se situent les accessoires plus chauds. Acca me promène dans le magasin en me montrant tout sorte de choses, masque, gants, accessoires en latex chaussures, puis s'arrête devant deux godes ceintures.

"Ils sont jolis ceux la. Dans quelques temps tu y auras droit."

La vendeuse qui passait au même moment sourit légèrement. Muso pique un fard.

"Bon allons voir ce que nous sommes venus chercher".
Nous arrivons devant les catsuit et ensemble nous regardons les tenues. Je tombe en flash sur un modèle sans pieds et sans main mais avec quelques zips bien placés notamment devant la poitrine".

-"celle là est bien non ?"

-"oui elle me va. Tu demandes à la vendeuse pour l'essayer mon tout beau?"

-"Euh Acca.. Tu peux lui demander s'il te plait. Je n'ose pas"

-"Ah la la muso.. Il va falloir que tu grandisses un peu. Mais bon.. Allons-y"

-"Bonjour Madame, pourrions nous essayer le catsuit pour monsieur?"

-"bien sur Madame, la cabine est la sur le côté."

Nous nous dirigeons vers le pan de tissu accolé à un mur. J'entre dans le renfoncement, et commence à me déshabiller. Alors que je suis en boxer, Acca appuie délicatement sur la télécommande et je sursaute tout en vibrant. Un petit rire vient ponctuer ma surprise.

-"Allez dépêche toi muso."

Je prends le catsuit dans les mains, l'inspecte, relève le sens. Une bouteille de talc est à côté.

Je glisse une jambe. La sensation est électrisante. Je tire sur le latex afin de la plaquer au mieux contre mon corps. J’engage la deuxième jambe et remonte le tout vers le haut. J’ajuste au maximum afin de bien avoir les plis du catsuit qui s’ajustent. J’aime l’effet que ça donne, alors même que le latex est encore brut, non poli.

Acca ne perd pas une miette du spectacle et passe régulièrement la tête dans la cabine.

«Ça va muso?». «oui Acca» répondis-je timidement.

Un Passage difficile.. je passe les bras dans la combinaison, c’est délicat mais j’arrive à remonter les pans sur mon torse.

«Acca? Tu peux m’aider à remonter le zip s’il te plait?»

Elle prend la tirette et remonte la fermeture, tout en tirant les pans vers ma colonne vertébrale. Le latex se plaque sur tout mon corps et viens presser sur la gorge au niveau du col.

«Arf! Ma Louve? J’ai de la difficulté à respirer!». D’un œil inquiet, ma ténébreuse appelle la vendeuse qui accourt.

«Ah ben monsieur? Vous n’avez pas assez tiré dessus. Les plis au niveau des épaules ne sont pas bien placés. Par contre cela vous va très bien. C’est exactement votre taille.

Enlevez le haut, re-talquez bien au niveau des coudes et des aisselles et réessayez ça devrait aller mieux».

Je peux voir par-dessus l’épaule de la vendeuse une cliente qui m’observe de la tête au pied avec un regard gourmand. Deuxième fard pour muso. J’avoue que j’ai plus l’habitude de mater les femmes que de me faire mater, mais l’un dans l’autre ce n’est pas désagréable non plus.

«muso? Tu dors? Allez voyons nous n’avons pas toute la journée!»

J’ôte donc la partie haute et je talque à nouveau la combinaison et mes parties avant. Je ré enfile le catsuit et me retrouve à nouveau enfermé. La sensation est de plus en plus exquise.

La vendeuse repasse et me dit : « c est déjà mieux Monsieur mais il faut encore tirer plus sur le haut vous savez? Mais la taille est bonne.»

- Acca : «bien alors nous la prenons. Il peut la laisser sur lui?»

- La vendeuse «oui Madame, aucun soucis.»

- Acca : «tu as entendu muso? Tu enlèves tout. Tu ôtes ton boxer et tu t’habilles de ta seconde peau.»

Je m’entends répondre un oui Acca, alors que je commence déjà à ôter le catsuit. Je me retrouve vite nu dans la cabine et je sens la main de Acca passer sur mes fesses.

«Hmm tu es à croquer mon tout beau. Allez habille toi.».

Je re-talque les jambes de la combinaison et je les enfile sans attendre, elles glissent beaucoup mieux et l’entrejambe se place de lui-même. Le contact du latex sur mon sexe est délicieux. Je m’attendais à bander très fort lors de l’essayage mais le stress de cet essayage a eu raison de ma vigueur.

Alors que je m’apprête à positionner les bras je vois la vendeuse entrer dans la cabine et prendre un pan de la combinaison. «Je vais vous aider, laissez moi faire».

J’ouvre en grand les yeux mais le déterminisme de celle-ci me laisse sans réaction. Je la vois passer les manches sur mes bras dans un nuage de talc. Elle tiraille à droite, à gauche. Rehausse, rétracte le tout en m’arrachant allégrement les poils des bras. «Je suis désolée pour les poils mais je suis obligée». Je mords un peu ma lèvre.

En deux temps trois mouvements, je me retrouve avec la combinaison placée correctement sur les épaules. Elle se positionne derrière moi et me dit :

«Je vais devoir vous mettre du talc sur les fesses monsieur.»

D’un geste sur et adroit elle applique la poudre blanche sur mes fesses et passe une main sure pour l’étaler. Saurais je réellement dire si elle s’y est attardée de façon délibérée?

Le zip vient fermer le haut de la combinaison. Le col tire beaucoup moins.

Acca me tend une paire de chaussettes en latex que j’enfile sans difficulté. Il en va de même pour les gants et le masque.

Pour la première fois de mon existence je me retrouve en latex de haut en bas. La seule partie de peau visible est autour des yeux et de la bouche.

Mes sens sont en éveils, chaque millimètre de peau se met à l’unisson pour m’envoyer des stimuli. Je ressens chaque parcelle de mon corps et je vis a travers la combinaison. Je ferme les yeux et respire un grand coup en essayant de profiter au maximum de l’instant. Je veux graver cette idée à jamais dans mon esprit. Ne jamais oublier. Etre.

Le regard de ma Louve est respectueux et admiratif. J’en suis d’autant plus fier.

«muso! Ôte le masque, les chaussettes, les gants et remet tes habits de villes. Nous allons aller nous balader dans bruxelles.»

Je m’exécute tant bien que mal, car le catsuit tire sur mon dos dès que je me penche. Il me faudra m’asseoir pour mettre mes chaussures.

Une fois rhabillé je regarde dans la glace. Invisible. Il est impossible de voir quoi que ce soit.

Alors que nous quittons l’étage, j’aperçois une autre vendeuse qui me fait un grand sourire, comme si tout le monde savait des choses que j’ignorais.

J’en reste perplexe.

Une fois en bas, je patiente aux cotés de Acca qui règle la note après que je lui eusse donné ma participation.

Nous sortons dans la galerie, commentons un peu nos achats, vérifions que tout va bien puis partons vers un petit troquet du coin. Un coca et quelques discussions plus tard nous décidons de visiter le centre ville.

Balade hivernale vers le manneken-pis, la grand-place et les autres monuments du centre. A chaque pas je sens le latex me pénétrer un peu plus. La combinaison se met en place sur ma peau, je sens la matière épouser les rondeurs de mes fesses. Quelques gouttes de sueurs se sont maintenant refroidies et chaque petit passage de vent me fait frissonner. Mais je suis là avec acca, dans la rue, serein, heureux. A chaque instant elle regarde et s’informe de mon état. A aucun moment je ne me peux me sentir seul, elle est devenue une protectrice hors pair qui veille sur moi comme une louve sur ses louvetaux.

Vers 19h45 Acca et l’ours blanc s’interrogent mutuellement sur le programme de la soirée. Ils décident finalement de rentrer. La féline et moi suivons évidemment leurs choix.

«Acca? Ça tombe bien en fait qu’on rentre je suis un peu fatigué. Chez toi on sera bien..»

«Oui oui muso? Ce sera mieux..»

«L’Ours blanc indique alors à nos deux personnages de les attendre là alors qu’ils vont chercher la voiture.

Nous patientons devant le parking 58 du centre ville. J’allume une cigarette tout en ressentant la douce caresse du latex sous mes vêtements. J’en profite pour échanger avec la féline sur des sujets aussi hard que le travail ou la vie sociale. Je note une grande intelligence chez cette personne et me réjouis de la qualité des connaissances d'Acca.
Quelques minutes plus tard à notre grand étonnement nous voyons arriver nos dominants respectifs avec des sacs ..

«?? Acca? On ne rentre pas? C’est quoi ces sacs?»

«Une surprise mon tout beau...Une surprise...»