Avant propos :
Ce n’est pas parce que je ne poste pas tous les 3 jours que nous avons mis notre relation en sommeil. Il est parfois des temps et des expériences qui se gardent jalousement.
Elle m’a accordé cette place j’entends bien la garder. A bon entendeur salut !

A quatre pattes devant la porte qui mène à l'antre d Acca, j'attends patiemment qu'elle daigne ouvrir le sésame de cette rencontre.
Cela faisait deja quelques temps que nous ne nous étions pas revus et j'avais hâte de la chérir à nouveau. Dans la semaine l'excitation des dialogues, dénotait une envie réciproque mais à chaque questionnement sur des éventuels scenarii, elle faisait la sourde oreille. La seule instruction qu'elle me donna fut de me mettre en pénitent dans le couloir avec pour seul habit mon boxer.
Après quelques minutes et aboiements des deux gardes du corps de sa maisonnée, Acca vint ouvrir et se planta devant moi :
" Bonjour Muso. je suis heureuse de te voir.
Voici ton collier !"
Je tends alors le cou prêt à recevoir ce doux lien mais elle me prend le menton en m'interpellant.
" Attention muso, aujourd'hui sera un peu particulier. A partir du moment où je t'appose le collier tu n'auras le droit que de dire Ouaf pour oui et Grr pour non, je t'autorise à bouger la tête également. Comprends tu ?"
Je suis surpris de son choix de jeu mais content de la tournure que prend ce weekend. " Oui Ma Dame"  je lui réponds avec entrain et bonheur. Elle sourit, s'avance et me noue le bandeau de latex autour du cou.
"Ça va ? Tu es bien ? "
"oui, Mada...."
Je n'ai pas le temps de finir ce bout de phrase que sa main vient gifler délicatement ma joue.
Muso !! Fais attention voyons.. ah .. il y a encore du travail avec toi je pense .. je répète ma question. Te sens tu bien ?"
Un Ouaf puissant sort alors de ma bouche.
" Bien. Maintenant va jusqu’a ton tapis et attends moi sans bouger"
En passant à ses cotés je sens sa main qui caresse mes fesses me provoquant le premier émoi de la soirée.
 
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Une fois ses mails et ses contacts Net salués, Acca revint vers moi avec un petit sac. Elle en ôta deux gants en latex noirs, une culotte de latex ouverte des deux cotés, des entraves de poignets et le fameux harnais que j'avais porté à la fetish night de Bruxelles"
" Tu vas boire un peu, fumer une cigarette puis ensuite je te mettrai en mode silence. Ainsi je pourrai calmement regarder la télévision ce soir"
A ces mots, je reste sans voix, nous sommes le soir du premier quart de final de l'euro et elle sait que je suis un aficionado. En règle générale elle m'octroie cette faveur pour mieux me punir ensuite.
" Quelque chose à dire ? Un reproche ? "
Je grommèle un ' ce n’est pas juste' qui se termine par un coup d'Agiel sur mes fesses.
" Quelque chose à dire ? Un reproche ?"
Je fais alors un Grrr et non de la tête.
"Bien.. Allons, bois un peu et fume moi cette cigarette que je sois tranquille"
Une fois ses deux opérations terminées, j'enfile les gants de latex puis tends mes avants bras. Elle y pose les contraintes qu'elle vient fermer par des petits cadenas.
J’enfile la culotte de latex. Vient ensuite le harnais de tête qui bloque partiellement ma vision et mes capacités de mouvements.
La laisse vient se crocheter à mon cou.
" Couche-toi là. Je ne veux pas t'entendre ce soir c'est bien compris ?"
"Mof "( un ouaf étouffé dans le harnais). Je me couche sur mon tapis en chien de fusil. Devant moi la table de salon empêche toute vue du poste de télévision.
J'entends la voix de jeanne Michelle laquet qui débute la présentation du match.
 
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Acca se passionne pour le match ou Portugais et Allemands se rendent coup pour coup.
A chaque action de l'un ou de l'autre sa main posée sur mon sexe me presse où me triture.
Dans les moments calmes elle me branle, me caresse délicatement.
Parfois son autre main vient me caresser les parties, effleurer mon anus.
Je n'écoute même plus les commentaires, seules ses attentions sur mon sexe sont mes repères d'espace et de temps.
Quand je peux je caresse de mes mains ses doux pieds qui s'appuient sur mon visage
(Avec le recul, je maudis les calendriers de ne pas avoir mis Espagne-Italie ce jour la, au moins aurais-je eu droit à 90 mn de douceurs et de mouvement)

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La mi-temps vient stopper ses attentions et d’un pas décidé elle se lève pour aller se chercher à manger. Je reste sur mon tapis, seul la queue en l’air.
Quelques minutes de micro ondes plus tard, elle revient s’asseoir au dessus de moi et déguste son plat tranquillement. Je tente une caresse une approche qui sont vite réprimandées.
Il ne me reste qu’à patienter.

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« Tu as Faim muso ? » me lance t’elle après avoir pris son repas.
« Ouaf » lui répondis-je.
«  Très bien. Ne bouge toujours pas. Je vais aller te préparer ta Gamelle ».
Le mot résonne encore alors qu’elle s’affaire dans la cuisine. Une gamelle. Je n’ai jamais fait ça ? Manger par terre ? Mon dieu. Que va-t-elle y mettre ?
Rapidement elle revient vers moi, tire sur ma laisse et me fait mettre a genou.
«  Regarde Muso, je t’ai acheté une jolie gamelle en plastique rouge. Elle est jolie hein ? »
Je regarde le plat de plastique avec une certaine appréhension. Elle l’a posée à mètre de moi. Je remarque à l’intérieur un mix de viande haché dont l’odeur est appétissante.
Louée soit Acca elle n’a pas poussé le vice jusqu'à y mettre de la vrai nourriture de chien.
«  Chien de luxe toi tu sais ? Cela vient directement du boucher. Un filet américain rien que pour muso ! »
Je la regarde avec des yeux de cocker qui la laisse de marbre.
« Allez muso, mets toi devant moi et bonne appétit »
Je m’exécute gauchement en  venant me positionner au dessus de la gamelle.
« Attends ! ». A l’arrêt, immobile, je sens qu’elle prend mes bras pour me les mettre dans le dos, puis les lies avec un mousqueton.
« Voila c’est mieux ainsi, à toi maintenant. »
Je me replace au dessus de la gamelle. J’avance le visage, et me lance.
Je plonge la langue dans le mix de viande. C’est difficile de ramener avec sa langue. Je contourne donc le problème en aspirant du mieux que je peux le contenu du boc rouge.
Mon nez trempe dans la viande alors que ma bouche se remplit peu à peu du précieux sésame. Si ce n’est la position délicate, le repas est bon.
Elle me prend alors par le collier et me relève.
«  Il est tout sale Muso ! » Avec délicatesse vient-elle me frotter le visage.
« Allez. Il faut tout manger »
Je repars vers ma gamelle, replongeant à nouveau vers mon étrange repas.
Une fois terminée, et mon visage nettoyé, je reprends ma place sur le tapis en écoutant la deuxième mi-temps.
«  j’ai d’autre projets pour toi après le match mon muso, repose toi tu vas en avoir besoin. »
Ma queue droite est la seule réponse qu’elle souhaitait entendre.